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Résumé

La taxe sur le temps, c’est la paperasse ou le fardeau administratif auxquels se butent les personnes qui essaient d’accéder aux services gouvernementaux. C’est une perte de temps, un gaspillage des ressources publiques, une imposition hors de proportion pour des gens dont le besoin de soutien est énorme et ça mine la confiance envers le gouvernement.

Les gouvernements priorisent souvent l’amélioration de l’efficacité de leurs opérations et la réduction de la paperasse pour les entreprises. Or, peu d’attention est accordée à réduire la taxe sur le temps et sa façon de nuire aux utilisateurs. Cette situation est attribuable à un éventail de raisons systémiques, culturelles et structurelles.

Récemment, toutefois, un intérêt grandissant pour la taxe sur le temps et une attention nationale visant à améliorer la prestation des services ont pavé la voie pour que le Canada priorise la réduction de la taxe sur le temps. Ce rapport fait ressortir 18 démarches exploitables pour traiter des causes sous-jacentes de la taxe sur le temps, dans quatre volets d’activité :

• S’organiser pour que les gouvernements réussissent
• Mesurer et comprendre les fardeaux
• Utiliser les nouveaux outils et les nouvelles technologies
• Se concentrer sur les utilisateurs, la responsabilisation et la transparence

Ces approches ne peuvent se faire de manière isolée. Les paliers de gouvernement devront plutôt se concerter au moyen d’approches pangouvernementales et intergouvernementales pour s’attaquer à la taxe sur le temps.

Réduire la taxe sur le temps des services publics économise temps et argent pour les citoyens et les gouvernements. Plus important encore, ça améliore la prestation des services et réduit les écarts d’égalité, avec davantage de programmes pour joindre davantage de personnes, comme le visaient les programmes. Réduire la taxe sur le temps est nécessaire, et c’est possible. Ce rapport présente des façons d’aller de l’avant et de mousser l’intérêt et l’engagement des gouvernements et des collectivités.